Qui ne rêve pas de changer de vie ? Quitter la routine du métro-boulot-dodo pour lancer son food-truck, devenir pâtissière ou écrivain, dire adieu à la ville et retaper cette vieille bastide dans le midi pour que les enfants ne grandissent pas dans la pollution parisienne ou carrément s’installer de l’autre côté du globe, dans le bush australien… Ces envies de changement sont normales et permettent de se sentir vivant(e). Se projeter dans un avenir différent est le meilleur antidote à la dépression. Mais comment distinguer ce qui relève du doux rêve et ce qui pourrait vraiment advenir ? Quelles sont les précautions à prendre avant de tout changer ?